projection 1 :
"L'apatride" de Tawfik Sabouni - 26'30'' - INSAS
En recevant sa carte de séjour, Salma une réfugiée syrienne, découvre que les autorités belges ont supprimé sa nationalité et celle de son fils. Salma se bat alors pour la reconnaissance de leur nationalité perdue.
When Salma, a Syrian refugee, gets her residence permit, she discovers that the Belgian authorities have withdrawn her nationality and that of her son. Salma then fights for the recognition of their lost nationality.
"Le cas hervé c'qui" de Luna Filippini - 6'23'' - La cambre
C’est une journée plus ou moins ordinaire, nous nous invitons dans l’intimité de différents personnages et déambulons dans un paysage urbain et surréaliste pour passer d’un tableau à un autre.
Chaque moment de vie en amène un autre et lie de manière cyclique ceux-ci.
"Vacance" de Guillaume Imbert - 11'21''
Dans un grand salon enfumé, une femme fatale et un gangster n'ont plus vraiment envie de tuer.
"Un autre" d'Adèle Pion - 5'48'' - AJC! - Zorobabel
Le film dépeint l'altérité présumée entre la réalisatrice et un homme qui a élu domicile dans un terrain vague. La rencontre réelle n'aura pas lieu, laissant place aux conjectures, aux différences supposées, aux ressemblances dans les réalités vécues.
"Présence" de Laurane Thys - 16'26'' - INSAS
Après avoir appris pendant des années l’art de s’effacer du regard des autres, à la suite de la pression sociale exercée sur les personnes grosses, la réalisatrice apprend à se réapproprier l’espace public et à redevenir visible, tout en se confrontant à son image.
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After having learned for years the art of fading from thegaze of others, due to the social pressure exerted onfat people, the director learns to reclaim public spaceand be visible again, while questioning the way shesees herself.
"Mange tes morts" de Léa Dedeurwaerder - 6' - 48H Film Project
1er prix du 48h Film project de Bruxelles
"Oscillation" de Kathleen Wijns - 7'03'' - La cambre
Vivre avec un trouble dissociatif est une expérience terrifiante et solitaire. Lui donner une forme ne la rend pas plus compréhensible aux yeux du monde, mais cela me permet de pouvoir en parler sans lutter constamment contre cette peur et ce désarroi qui me submerge depuis 3 ans. Quitte à choisir cette dite forme : pourquoi pas un chat ?
"Poppy's Saturn" de Nicole Tegelaar - 14'43'' - KASK
When nightclub singer Poppy is confronted with a black-eyed man, she is overcome by fear. In a colorful world, full of larger-than-life characters and kaleidoscopic glittercore, Poppy will eventually find a way to get closer to herself. Poppy’s Saturn is a musical and experimental, dreamlike film about processing trauma.